Econews- Un gain de 2OO milliards de FCFA, voilà ce qui est entendu de la nouvelle politique ferroviaire du
Sénégal du lancée, à Dakar .Il s’agit d’un programme de modernisation des infrastructures ferroviaires axé sur de 2065 km de rail. Soit un engagement de 50 milliards FCA par an pour arriver
a un système ferroviaire sécurisé en 2035, nous informe l’Observateur.
Objet d’un atelier de validation technique tenu, à Dakar, la nouvelle politique ferroviaire du
Sénégal axée sur un programme de modernisation des infrastructures. Ce projet qui vise un système
ferroviaire sécurisé en 2035 découlé d’un processus inclusif et collaboratif ,mené par le secrétariat
d’état changé du réseau ferroviaire (SERF) chargé du réseau ferroviaire comporte trois axes
stratégiques .
D’après le Sécrétaire d’Etat, Mayacine Camara , il offre un service de transport performant qui se positionne comme un
vecteur de densification des flux démo –économiques, favorable à l’amélioration de la compétitivité
globales des territoires.
1800 000 emplois durant les travaux. Le réseau transportera 2 ,5 millions de passagers annuels et
24,2 millions de tonnes de fret le gain en capital estimé à 200 milliards de francs CFA chaque année
et près de 12 millions de tonnes équivalent CO2 seront évalués par an, a-t-il souligné.
Le secrétariat d’état à propos de cette journée de validation a rappelé que le processus a démarré
depuis 4 mois sur instruction du président de la république. En qualité d’économiste nous avons
engagé cette politique par une approche économique de rentabilité environnementale et sociale ».
« Nous avons rencontré l’ensemble des acteurs du ferroviaire. Nous avons pu identifier les besoins
sur cette base et nous avons dressé un schéma ferroviaire avec les opérateurs principalement le port
autonome de Dakar », a-t-il dit confiant que « une réussite de cette nouvelle politique, il faut rendre
compétitif ces entreprises qui sont menacés de sur congestion »
« Accès de sur congestion »
« Nous attendons de cette politique un impact économique fort, donc des croissances élevées du fait
de l’accroissement de la compétitivité des secteurs d’activités. Nous avons identifié un réel besoin
en transport ferroviaire pour pouvoir les booster ».
Therese DIOUF/Econews